Nous sommes le 29 Novembre 2009, toute l'Europe est occupée par la bien-pensance. Toute? Non! car un pays peuplé d'irréductibles racistes résiste encore et toujours à la pensée unique envahissante. Et la vie n'est pas facile pour les garnisons de l'intelligencia Bruxelloise qui découvrent avec stupeur et tremblement le rejet massif par le peuple suisse de la construction de nouveaux minarets sur le territoire helvète suite au référendum d'initiative populaire. C'est toute une idéologie qui est remise en question, cette démocratie unilatérale qui n'a de valeur que si elle suit la volonté de ceux qui gouvernent ; ces « élites ».
Aujourd'hui les médias de France et de Navarre nous rabâchent que c'est le vote de la haine qui s'est exprimé dans les urnes, un vote qui nous ramène aux heures les plus sombres de notre histoire. Et tout ce petit monde de nous rappeler que personne ne veut ça au sein de l'Union Européenne, que c'est inacceptable et insupportable. Le mépris devient tel que ces illuminés ne voient même plus les réactions du peuple aux travers de sondages ou de commentaires qu'ils ont eux-mêmes ouverts sur leurs sites internet. Quand j'entends à la radio ou lis dans les journaux que le système de démocratie directe dévoile ces limites, qu'il faut saisir la Cour des droits de l'homme, je pense sincèrement qu'un fossé immense sépare le peuple et ses élus comme une plaie béante qui ne cicatrise pas. Et que se passe-t-il lorsque le peuple sent que l'état ne le représente plus? L'histoire montre qu'il reprend son destin en main dans un déchainement populaire peu glorieux. Puisque la voix du peuple ne résonne plus dans le discours de l'état alors cette société n'a plus raison d'être et d'être raison.
Le grand cirque itinérant est en route. Les blancs de la classe moyenne et ses clowns-victimes défilent dans les rues. Les nez rouges dégoulinent sur la chaussée comme le maquillage sur leurs visages enflés, boursouflés par toutes les conneries qu'ils avalent chaque jours dans les médias. Ils braillent des slogans révolutionnaires sortis tout droit de l'esprit vif d'un supporter de football. Ils vomissent leur haine du système, ils rient de leurs blagues vulgaires et de leurs imitations grotesques prenant pour cible le gouvernement qu'ils ont élu six mois plus tôt; autodérision. A ces corps déambulant, plus ou moins vivant, vient se joindre la jeunesse décérébrée, acrobates frénétiques suspendus au dessus du vide culturel. Qu'importe! Soyons désinvolte! T'es foutu la jeunesse est dans la rue, police partout justice nulle part, à bas l'état, école bradée jeunesse sacrifiée, abstention collaboration, nous sommes tous des enfants d'immigrés, il est interdit d'interdire, faites l'amour pas la guerre... Les corps se mélangent, s'empilent dans une partouze de connivence, aussi spontanée que le public d'une émission de variété. Tout le monde est de mèche, tout doit se voir et être vu. Regarde la caméra mon amour, à treize ans t'es une femme c'est écrit dans libé, serre bien les fesses quand je vais t'enculer, ne pleure pas mon amour, tu resteras vierge, dans le cul ça compte pas. Les prestidigitateurs de la diversité et les jongleurs de la mixité se greffent au cortège grotesque. Les rats rejoignent les singes sur scène. Deux trois tours de passe-passe et la foule est hypnotisée, laissant le champ libre aux animaux sans dresseur des quartiers im-populaires. Ils se ruent sur leurs proies, déchirent, pénètrent, fracassent, violent, pillent, ils sont venus reprendre ce que nous ne leur avons pas pris, toi non mais tes ancêtres si ; les voitures flambent, le feu purifiera nos péchés. Cette fois le tableau est complet, Guernica post onze Septembre. Le grand Barnum n'a plus qu'à se répandre dans les médias qui se gausseront de ces minorités ultra-visibles. Farines animales nourrissant le bétail et inversement. La saturation est proche, le ballon de baudruche est prêt à éclater.
Aujourd'hui les médias de France et de Navarre nous rabâchent que c'est le vote de la haine qui s'est exprimé dans les urnes, un vote qui nous ramène aux heures les plus sombres de notre histoire. Et tout ce petit monde de nous rappeler que personne ne veut ça au sein de l'Union Européenne, que c'est inacceptable et insupportable. Le mépris devient tel que ces illuminés ne voient même plus les réactions du peuple aux travers de sondages ou de commentaires qu'ils ont eux-mêmes ouverts sur leurs sites internet. Quand j'entends à la radio ou lis dans les journaux que le système de démocratie directe dévoile ces limites, qu'il faut saisir la Cour des droits de l'homme, je pense sincèrement qu'un fossé immense sépare le peuple et ses élus comme une plaie béante qui ne cicatrise pas. Et que se passe-t-il lorsque le peuple sent que l'état ne le représente plus? L'histoire montre qu'il reprend son destin en main dans un déchainement populaire peu glorieux. Puisque la voix du peuple ne résonne plus dans le discours de l'état alors cette société n'a plus raison d'être et d'être raison.
Le grand cirque itinérant est en route. Les blancs de la classe moyenne et ses clowns-victimes défilent dans les rues. Les nez rouges dégoulinent sur la chaussée comme le maquillage sur leurs visages enflés, boursouflés par toutes les conneries qu'ils avalent chaque jours dans les médias. Ils braillent des slogans révolutionnaires sortis tout droit de l'esprit vif d'un supporter de football. Ils vomissent leur haine du système, ils rient de leurs blagues vulgaires et de leurs imitations grotesques prenant pour cible le gouvernement qu'ils ont élu six mois plus tôt; autodérision. A ces corps déambulant, plus ou moins vivant, vient se joindre la jeunesse décérébrée, acrobates frénétiques suspendus au dessus du vide culturel. Qu'importe! Soyons désinvolte! T'es foutu la jeunesse est dans la rue, police partout justice nulle part, à bas l'état, école bradée jeunesse sacrifiée, abstention collaboration, nous sommes tous des enfants d'immigrés, il est interdit d'interdire, faites l'amour pas la guerre... Les corps se mélangent, s'empilent dans une partouze de connivence, aussi spontanée que le public d'une émission de variété. Tout le monde est de mèche, tout doit se voir et être vu. Regarde la caméra mon amour, à treize ans t'es une femme c'est écrit dans libé, serre bien les fesses quand je vais t'enculer, ne pleure pas mon amour, tu resteras vierge, dans le cul ça compte pas. Les prestidigitateurs de la diversité et les jongleurs de la mixité se greffent au cortège grotesque. Les rats rejoignent les singes sur scène. Deux trois tours de passe-passe et la foule est hypnotisée, laissant le champ libre aux animaux sans dresseur des quartiers im-populaires. Ils se ruent sur leurs proies, déchirent, pénètrent, fracassent, violent, pillent, ils sont venus reprendre ce que nous ne leur avons pas pris, toi non mais tes ancêtres si ; les voitures flambent, le feu purifiera nos péchés. Cette fois le tableau est complet, Guernica post onze Septembre. Le grand Barnum n'a plus qu'à se répandre dans les médias qui se gausseront de ces minorités ultra-visibles. Farines animales nourrissant le bétail et inversement. La saturation est proche, le ballon de baudruche est prêt à éclater.